2 erreurs à ne pas faire pour devenir parieur professionnel

2 erreurs à ne pas faire pour devenir parieur professionnel

Dans cet article, je voulais revenir sur 2 erreurs à ne pas commettre si vous souhaitez vous professionnaliser dans les paris sportifs. Les 2 erreurs viennent de mon propre vécu.

1. Sous-estimer son capital de départ

Pour toutes les personnes qui me suivent, je me suis installé à Malte le 5 septembre 2012. Mon capital était de 14 000 euros quand je suis arrivé à Malte. C’est un capital suffisant pour le doubler au bout d’un an mais pas plus sauf si vous prenez beaucoup de risque. J’ai fait des paris maladroits à cause de ma cupidité et mon manque de patience. Toutefois, je suis des parieurs qui sont compétents et qui vont me doubler mon capital en 12 mois si cela se passe bien. Plus le risque que vous prenez est élevé, plus le risque de banqueroute ou de tilter arrivera dans un mauvais moment. Avec ce capital, environ 14 000 euros, on peut se dégager un SMIC par mois mais pas plus.

Cela ne signifie pas que vous allez avoir 1000 euros par mois qui vont tomber, cela veut dire qu’il y a 1 mois, vous allez peut-être faire -1000, un autre, + 3000, un autre, + 200. Bref, c’est l’incertitude complète sur ce plan. Il faut en avoir conscience. Les paris sportifs, ce n’est pas un salaire fixe comme un CDD ou 1 CDI. Il faut avoir une vision annuelle. Vous pouvez vous lever un matin et perdre de l’argent alors qu’un travail classique, quand vous vous levez, vous êtes sûr d’avoir votre salaire à la fin du mois. Un travail et être parieur professionnel n’est pas comparable. On ne peut faire aucune comparaison. Avec un capital inférieur à 15 000 euros, il est difficile de gagner un revenu honorable sauf si vous prenez beaucoup de risque. La principale erreur que j’ai fait, c’est d’avoir sous-estimé mon capital, il faudrait qu’il soit plus gros pour pouvoir espérer plus de gains et me dégager plus de revenus.

Pourquoi doubler son capital en 1 an ? Pour augmenter ses revenus ou son capital en paris sportifs, il y a 2 possibilités. Soit vous êtes un parieur qui est capable de dégager un roi ou un yield de 10% ou plus. Soit vous êtes quelqu’un qui suit des autres parieurs qui ont un ROI ou un yield entre 10 et 20%. Sur cette option, il faudra payer des abonnements car c’est très rare qu’un tipster ou parieur soit gratuit s’il est très fort. C’est logique.

Note importante : Un parieur qui a un Yield de + de 20% est un excellent parieur. C’est assez rare. De ce fait, tout le monde se l’arrache et personne n’a intérêt de le crier sur des blogs ou sur des forums pour se pénaliser soit-même.

Qu’est-ce qu’un ROI ou un Yield ? Prenons un exemple fictif : Un parieur a un yield de 10 %. Imaginons qu’il fasse des mises fixes. Il propose 100 paris. Sur chacun des 100 paris, la mise est de 100 euros. La mise totale est de 10 000 euros. Avec un Yield de 10%, vous allez récupérer 11 000 euros soit 1000 euros de bénéfice. Dans mon exemple fictif, le parieur a un yield de 10%. Un yield entre 10 à 20% est un très bon Yield.

2 - Patienter et attendre

La seconde erreur à ne pas commettre est de ne pas être patient. Cette phrase, je la connais, j’ai complètement manqué de patience au cours de mes premiers mois à Malte. Je vais expliquer pourquoi il est quasiment impossible d’être patient dans les paris sportifs si l’on n’en a pas conscience. Au début, je n’en avais pas conscience car vous voulez toujours gagner et c’est le meilleur moyen de perdre.

Reprenons mes propos ci-dessus : Je pense que l’on peut doubler son capital en 1 an. Jusque la, on se dit : « excellent, j’aurai le double dans 1 an soit par l’intermédiaire de parieurs que l’on suit ou soit avec ses propres pronostics si l’on arrive à dégager un Yield de plus de 10% pour être payé par le travail que l’on fait. ». À l’échelle d’une vie, 1 an, c’est court, voir même très court. Toutefois, à l’échelle des paris sportifs, 1 an, c’est long.

Où est-ce que je veux en venir ? Reprenons mon exemple fictif ci-dessus. Si vous suivez 4 ou 5 parieurs qui a un roi ou yield supérieur à 10% ou si vous faites vos propres pronostics, vous allez certainement recevoir et jouer 1 000 pronostics dans l’année. Pour ma part, à Malte, j’ai fait presque 250 pronostics en 3 mois. Si je multiplie par 4 ce nombre, je serai à 1000 paris par an.

Chaque pronostic a sa propre histoire. En 250 pronostics, il m’est arrivé tellement de choses invraisemblables que je n’ose même pas imaginer avec 1000 paris, ce qui va m’arrivé. Prenons l’exemple d’un parieur que l’on suit : Il a un yield de 15%. On va prendre un échantillon de 100 paris que vous avez joué. On lit bien le départ, il a un yield de 15%, pas de 10 ou de 20%. Ça, c’est la théorie, pas la pratique et la réalité. Dans l’échantillon, il faudrait quasiment 2 paris gagnants et un pronostic perdant. Admettons que le parieur soit irrégulier, il envoie 10 pronostics gagnants :

Que va faire notre esprit ? « On se fait des films, on se dit, il est énorme, il est en forme… ». Bref, les constructions mentales de notre esprit sont importantes. Pourquoi ne pas augmenter les mises et ne plus respecter ses mises ? ». Prenons un second exemple maintenant à l’opposé : Pour le parieur, on est au 50ème pari, il est en avance sur son Yield, il est à 21%. Et là, patatras, les 8 prochains paris que vous recevez sont perdants.

Qu’est-ce qui vous traverse dans votre esprit ? Il y a de la frustration, de la colère, de l’énervement. Vous vous dites peut-être que le tipster que vous payez est entrain de tilter. Vous êtes entrain de perdre le bénéfice qu’il vous avez fait gagné juste avant. Que ce soit dans une bonne série ou une mauvaise série, notre esprit s’invente un tas de choses. Dans le fond, c’est normal, on est des humains et non des robots. Faire ses propres pronostics ou suivre les pronostics de quelqu’un engendre des émotions positives ou négatives. Dans les 2 cas, il faut agir comme un robot et ne pas arrêter dans les mauvais moments ou augmenter subitement les mises dans les bons moments.

Pourquoi un robot serait meilleur qu’un être humain ? Pourquoi j’ai employé un tel titre ? On est des êtres humains. On est soumis aux émotions positives ou aux émotions négatives. On veut tout de suite, dans l’immédiat. On pari pour gagner tous nos pronostics et cela fait mal à l’esprit et au cerveau d’avoir une mauvaise passe. Pire, cela emmène de la frustration, de l’énervement.

Un point négatif des paris sportifs. Je vais reprendre une phrase d’un lecteur du blog : maxlepretre. Sa phrase est la suivante : “Dis toi bien que les parieurs qui gagnent de l’argent, généralement, ne s’exposent pas sur la toile”. Je suis 100% d’accord avec les propos de ce lecteur.

Tu te dis peut-être « Maxence, pourquoi tu t’exposes autant ? ». Si je n’avais jamais fait ce blog, je n’aurai jamais pu parler à des gens qui sont très compétents dans ce domaine. Mieux, je n’aurai jamais pu avoir accès à des informations que quasiment personne ne possède. Bref, si j’étais resté seul dans mon coin, je serai surement resté dans une impasse sans réponses à mes questions. Ouf, j’ai créé un blog, Parfait pour moi.

Pourquoi tout ne peut pas ce dire dans les paris sportifs ? Le premier problème est la chute des cotes. Un parieur se juge environ sur 1 an ou sur des centaines de pronostics pour obtenir une tendance. Alors pourquoi des parieurs très compétents ne dévoileront pas leurs sources ou leurs secrets ? Si vous suivez un parieur en particulier, le dire ou le crier à tout le monde handicap une personne, c’est vous-même. Pourquoi ?

La première chose, plus de monde suit un parieur, plus les cotent vont chuter. C’est l’immense problème des paris sportifs. S’il y avait 50 000 euros de joué et que la cote baissait de 0.01. Énormément de parieurs pourraient divulguer leurs sources à d’autres parieurs ou à leur entourage. Malheureusement, ce n’est pas possible. Oui, je hais les bookmakers. Ils ne sont pas réglos. Les cotes baissent rapidement avec des mises basiques (entre 100 et 300 euros). La seule exception sont les « gros »évènements (tournoi du grand chelem au Tennis, ligue des champions au football…).

Le second problème est la limitation des mises. Suivant la cote, l’évènement que vous jouez ou le bookmaker que vous choisissez, vous pouvez être limité à 20 euros de mises…Soit parce que le pari en question est un évènement ou le bookmaker ne sait pas ce qu’il fait. Bref, c’est comme cela, si tout le monde dit ce qu’ils font, malheureusement, il ne pourrait plus jouer car il s’handicap soit-même.

Le but n’est pas de se tirer une balle dans le pied. Personnellement, je ne dévoilerai jamais les tipters que je vais suivre en 2013. Je ne veux pas m’handicaper et avoir des mauvaises cotes justes en le partageant sur mon blog. Malheureusement, c’est ainsi. C’est vraiment dommage. C’est pourquoi je hais les bookmakers. Malheureusement, les bookmakers n’assument pas la cotation de leurs cotes. De ce fait, vous êtes limité par la mise (le bookmaker ne sait pas fixer la cote) ou soit, vous allez avoir une cote qui aura chutée. Si la cote passe de 2 à 1.70, bref, la galère.

Conclusion

Pour ma part, je souhaite doubler mon capital d’ici 1 an en suivant 4 parieurs que j’ai sélectionné et déjà suivi depuis 3 mois. Pour résumer, 1 an de paris sportifs est très long. C’est pourquoi il faut avoir une gestion strict de son capital et toujours suivre le parieur quelque soit les résultats qu’il fait sur l’année.

Ne jamais oublier qu’aucun parieur ne réalise pas un mois en négatif au cours d’un an. Cela peut-être frustrant mais c’est à ce moment-là qu’il faut continuer de suivre comme un robot. Bref, ce n’est pas la fin du monde d’avoir un mois négatif. Il faut refaire son capital et repartir.

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